Entreprendre en franchise Dal’Alu : Jean-François Clément

« J’étais cadre commercial pour un fabricant de vêtements spécialisé dans la distribution organisée qui a fait faillite. Ainsi, à l’approche de mes 44 ans, je me suis retrouvé sans emploi », se souvient le chef d’entreprise. « En effet, le secteur de la confection française était sinistré et n’embauchait plus. C’est pourquoi, je devais rebondir rapidement ! »

Il rencontre Dal’Alu lors du Salon de La Franchise. Le quadragénaire « sentait le vent tourner depuis un moment » et connait déjà ses attentes. « D’une part, j’avais besoin d’autonomie et d’autre part, je savais que je supporterais de moins en moins les rapports de subordination qui existent dans une entreprise classique », se confie-t-il. « Je me suis donc intéressé au modèle de la franchise. Entreprendre en franchise permet d’être indépendant, tout en étant soutenu et accompagné par le franchiseur. Or, ce sont de nombreux atouts quand on souhaite entreprendre de manière sécurisée.»

Séduit par le concept Dal’Alu

Ainsi, sans avoir d’idée arrêtée sur une franchise en particulier, il se rend au Salon de la franchise. « Le salon est immense et il y a des centaines d’exposants. Pourtant, le concept du camion atelier et du profilage de gouttière en continu de Dal’Alu me séduit immédiatement. »

« De plus, entreprendre avec la franchise Dal’Alu ne requiert aucune compétence technique... Une chance pour moi car je n’avais jamais tenu une perceuse de ma vie ! », raconte-t-il en riant. « En revanche, parmi les 7 points clefs pour devenir franchisé Dal’Alu, il est fortement conseillé d’être un excellent commercial et ça… je l’étais ! »

Ainsi, licencié en mai 2003, Jean-François crée son entreprise JFC ALUMINIUM – Dal’Alu en septembre de la même année grâce à un emprunt de 15 000 euros à la banque et à l’achat d’un fourgon. « Les débuts on été épiques, même difficiles ! J’ai travaillé seul pendant 6 ans ! Mais aujourd’hui, j’emploie 6 salariés et je viens d’embaucher un conducteur de travaux », se réjouit-il.

Et pour cause. Le rythme des chantiers est soutenu et s’accélère chaque année. Son chiffre d’affaires avoisine le million d’euros. Il réalise 80 chantiers chaque mois en moyenne, dont 75 % pour une clientèle de professionnels et 25 % pour des particuliers.

« Toujours dans l’objectif de nous développer, nous avons fait construire un entrepôt de 500 m2 et des bureaux de 100 m2 qui accueillent nos 3 camions, 5 profileuses et une nacelle araignée », poursuit l’entrepreneur. Et il compte bien aller encore plus loin.

JFC ALUMINIUM – Dal’Alu : une entreprise familiale

En effet, il a embauché son épouse Sylvie et fait régulièrement appel à son fils Thomas pendant les congés scolaires. De plus, sa fille Juliette rejoindra l’entreprise avant la fin de l’année. 

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Découvrez aussi :

• Le témoignage de Tomy Contesso qui a racheté avec son père, le fonds de commerce d’un franchisé DAL’ALU à Saint-Sernin dans l’Ardèche.
• Le parcours de William Goncalves et Jessica Legale qui ont repris la la société DAL’ALU à Saint-Jean-de-Luz en 2016.